Tisserand de la compréhension du devenir
Conférencier, expert et auteur

Notes à propos de "L'Espoir" de Claude G. Notter

A propos de sa pièce : "L'Espoir"

De mon ami Claude Guignard (alias Claude G. Notter) dans sa pièce "L'Espoir" :

 

"Le monde est beau lorsqu’on prend de la hauteur.

On se rapproche de Dieu.

La verticale est la mesure de l’homme.

Et la hauteur est en réalité un gouffre où beaucoup se perdent."

 

Et aussi :

 

"Je n’ai plus de repère devant le vide, la vie me semble

nouée au fond d’une gorge, et le ciel est un désert fermant

mon regard. Je suis aveugle, sans matière, inexistant."

 

Et encore, en parlant des conditions pour atteindre la sagesse :

 

"Si tu réalises ce que tu penses devoir faire, mais aussi en

prenant conscience de ce que tu as fait."

 

Et ceci :

 

"Tout serait donc question de foi (…).

Mais ce n’est pas croyance ni superstition, c’est une

conviction qui devient Vérité lorsque tu t’en imprègnes.

Vois, ce ciel, ces villes, ces espaces de verdure, ne veux-tu

pas les posséder, en être le Maître ?

Je te donne tout cela si tu sais ce que posséder veut dire.

Avoir ? (…) Non être « par » et « dans » avec « aussi ».

Mais nous ne faisons pas la différence et c’est ce que tu dois

apprendre.

Regarder la plante, l’arbre, la fleur naître, s’épanouir,

mourir (…)"

 

Et aussi :

 

"(…) la certitude est stérilité, elle

n’enfante que des monstres, paralyse, montre du doigt. (…)

un gouffre d’indigence, de parti pris, qui n’est

plus point de vue, mais meurtrière défensive d’un château

fort où n’entre plus la lumière.

 

Et encore :

 

"(…) c’est par un cri que l’homme vient à l’existence et par le

silence qu’il s’élève, qu’il devient Homme."

 

Et cette grande vérité :

 

"Concentre-toi, rien à l’extérieur ne peut te sauver."

 

*

 

"Intelligence et langage du cœur.

Ah ! L’homme, prône la fidélité et trompe la mère de ses

enfants, prône l’égalité et pratique iniquité, rallie les

religions d’amour et s’entretue au nom de Dieu. Pratique la

logorrhée et renonce à l’action. Vous n’êtes que de petites

fourmis, frétillant dans la caverne obscure de votre esprit.

Vous êtes des morts à la vraie vie. Quelle Vérité recherchez-vous ?

La vôtre, où celle du Tout ? Pourquoi êtes-vous ici et

maintenant. Quel sens donner à vos vies.

Vies insignifiantes à l’aune de la création."

 

Et aussi :

 

"Dieu est en vous, ne cherchez pas ailleurs, il est le gardien

du temple, dont vous n’osez pousser la porte. Vous en

possédez la clef. Ne voulez pas reconnaitre la serrure. Et

pourtant vous avez besoin de tant de reconnaissance !

Croyez en vous. Ayez foi en vous. Aimez-vous. Tout est

là. Il n’est pas question de cervelle, il est question de cœur.

Entendez-vous ?"

 

Et encore :

 

"La vie, est la vie des deux côtés de la porte.

Ayez la foi, ne croyez pas."

 

Ou :

 

"(…) tu peux posséder une science, mais

seulement accéder à la Connaissance."

 

*