Qu'est-ce que la lumière ?
La lumière est un phénomène qui intrigue depuis très longtemps la physique. Elle l'intrigue d'autant plus depuis que la dualité entre onde (Fresnel, Young) et corpuscule (Newton, Einstein) n'est plus discutable.
La théorie électromagnétique de Maxwell ne résout rien, elle déplace seulement le "mystère" de la lumière vers le "mystère" de l'électromagnétisme.
Pour comprendre la lumière il faut se plonger dans l'univers prématériel, dans un univers d'activité pure, dans un univers d'activité bosonique exclusive, dans un univers d'énergie noire (comme l'appellent certains) ; disons plus simplement dans l'univers de l'énergie pure avant qu'elle ne soit encapsulée dans des "bulles matérielles" sous diverses formes.
L'univers prématériel est un patatoïde rempli d'énergie ; il est, à la fois (et c'est encore mystérieux quant aux processus et mobiles) accumulatif et pulsatile.
Plus on descend vers son centre, plus cette énergie est tranquille, fossilisée, en quelque sorte, accumulée au fil du temps, mais quasiment inactive (purement topologique).
En revanche, plus on remonte vers la surface périphérique de ce patatoïde fermé et fini qu'est l'univers d'avant l'émergence des fractals galactiques et matériels, plus l'énergie devient (très lentement d'abord, pendant longtemps, puis plus intensément à l'approche de la surface) effervescente, active, bosonique, mais chaotique, désordonnée, anarchique (purement dynamique).
Mais si l'on approche très près de la surface du patatoïde, alors on voit cette énergie s'organiser, se logiciser (donc eidétique) : c'est la lumière sous sa forme ondulatoire, avec des bosses et des creux.
Mais ce qui ondule, c'est de l'énergie effervescente, bosonique, passagère. Mais si, par hasard, cette énergie active coïncide avec le passage d'une entité matérielle, elles interagiront l'une sur l'autre sous une forme photonique (le photon est un boson).
Voici, dès lors, potentiellement éclaircie la mystérieuse dualité onde-corpuscule.
*